Pour ponctuer le repas du Nouvel An, y compris en temps de Covid-19, rien n'interdit de s'offrir un digestif bien t'cheu nous - avec modération bien sûr !
Pour changer du calvados, on peut opter pour la liqueur bénédictine, produite à Fécamp, dans le splendide palais du même nom conçu par Alexandre le Grand. Sa recette est depuis tout temps gardée secrète. Elle serait composée de 27 ingrédients, parmi lesquelles le thym, la cannelle ou les plantes aromatiques l'hysope et l'angélique.
Pour les fêtes, le palais a mis au point un nouveau breuvage : la Bénédictine 1888, soit l'année d'inauguration de la distillerie. Cet assemblage de la liqueur normande et de cognac a vieilli quelques mois dans des fûts de chêne, auparavant utilisés pour le célèbre alcool charentais. Selon la distillerie, le cognac "apporte rondeur et chaleur" à cet alcool, qui révèle "au nez des notes d'agrumes et de citron qui s'enrichissent aux arômes de vanille et de miel".
En temps normal, la distillerie fécampoise se visite.
Pour patienter jusqu'à sa réouverture au public, elle propose sur sa page Facebook des recettes de cocktails, dont un Irish Coffee revisité à la sauce normande.
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