Mardi 24 juillet, le tribunal de commerce de Rouen examinait les offres de NetOil, dirigée par le puissant homme d’affaires libanais d’origine égyptienne Roger Tamraz, impliqué notamment en Libye, et Alafandi Petroleum Group, présidé par un certain Ramzi Alafandi. Selon les syndicats, les deux propositions permettraient de maintenir l’emploi sur le site (550 salariés).
L’hypothèse d’une liquidation de la raffinerie semble donc s’éloigner, ce qui poussé Didier Marie, président du Conseil général de Seine-Maritime, à affirmer “sa satisfaction et son espoir (...). C’est une bonne nouvelle pour l’emploi local et pour l’industrie pétrolière française”. Toutefois, rien n’est encore fait. Les candidats ont jusqu’au 24 août pour préciser leur projet. Le tribunal de commerce de Rouen tranchera, sûrement définitivement, le 4 septembre prochain. Et ce sera alors peut-être la fin du cauchemar pour le demi-millier d’employés.
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