Gérald Le Corre, de la CGT de Seine-Maritime, espérait "une convergence des luttes et des colères" en réunissant plus de mille personnes pour une grande "marche des libertés", samedi 28 novembre, contre la loi de sécurité globale et le manque de moyens dans l'enseignement et le milieu médical.
Le gouvernement et la police n'ont pas été épargnés. - Guillaume Lemoine
Malheureusement, une partie du cortège a voulu dévier du trajet initialement prévu (et déposé en préfecture) et s'est retrouvée face à un cordon de CRS. Des grenades lacrymogènes ont répondu aux pétards, insultes et projectiles lancés par les plus radicaux des manifestants qui se sont repliés vers le centre-ville.
Certains manifestants ont très vite affiché leur détermination. - Guillaume Lemoine
Les forces de l'ordre se sont ensuite déployées en masse le long de la rue Jeanne-d'Arc, où l'affrontement a continué à la lueur d'un impressionnant feu de poubelle. Pour chasser les derniers éléments récalcitrants, plusieurs unités de CRS ont remonté la rue du Gros-Horloge, au milieu des nombreux Rouennais qui profitaient de la réouverture générale des commerces pour faire leurs achats de Noël.
Les illuminations de Noël avaient de la concurrence. - Guillaume Lemoine
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