errière les syndicats qui pensaient que le tribunal mettrait sa décision en délibéré, des élus du PS, du PCF et du Parti de Gauche de l'agglomération de Rouen, dont le député socialiste Guillaume Bachelay étaient présents à ce rassemblement, ceints de leurs écharpes tricolores. Deux offres ont été déposées le 24 août par Alafandi petroleum group (APG), basé à Hong Kong et par NetOil, dont le siège est à Dubaï.
Ces deux offres prévoient au moins le maintien des 550 emplois que compte cette raffinerie, APG s'engageant pour sa part à lourdement investir sur le site. Ces repreneurs potentiels ont fait l'objet récemment d'articles de presse s'interrogeant sur leur crédibilité.
Le Monde a ainsi estimé, à propos d'APG, que "nul ne sait qui sont ses banquiers, ses avocats, ses appuis". Cette raffinerie, ouverte en 1929, a été placée en redressement judiciaire le 24 janvier à la suite de la faillite de sa maison-mère suisse.
Arrêtées courant janvier, les activités ont repris temporairement à la mi-juin après la signature du contrat ponctuel avec Shell, qui fut longtemps propriétaire du site avant de le céder en 2008 à Petroplus.
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