C’est en ces lieux qu’il installa un service d’ophtalmologie, plus de cinquante ans avant la création d’un tel service dans le pavillon de l’Hospice Général.
Enfants abandonnés
D’abord vicaire, l’abbé aidé de quelques bonnes volontés apporte une aide considérable aux malades et aux nécessiteux. Nommé ailleurs, il revient comme curé à Saint-Vivien en 1840. Grâce à différents legs, l’abbé Forbras achète en juin 1844 quatre maisons contigües, rue de Capucins. Il est préoccupé par le sort de jeunes enfants abandonnés à eux-mêmes. Il sollicite alors en 1846 le maire de Rouen Henry Barbet et, grâce au don obtenu, achète le 22 rue des Capucins le 4 novembre 1846. Deux médecins l’aideront à soigner les enfants de 3 à 7 ans.
Espérant freiner une mortalité très importante, l’abbé Forbras crée une crêche qui pourra accueillir une vingtaine d’enfants, au 28 rue des Capucins. Il fonde par la suite un centre, rue du Val d’Eauplet, destiné à réduire les infections oculaires chez le nouveau-né.
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