Les mutilations de chevaux, dans l'Orne. Mardi 15 septembre, le président du Conseil départemental a décidé de mobiliser les agents du service des routes, que le quotidien amène à intervenir jour et nuit dans le département. Au-delà de leurs tâches, il leur a été demandé d'être des observateurs à proximité des haras, en lien direct avec la police et la gendarmerie et en complément de toutes les autres initiatives de surveillance des agressions dont les chevaux pourraient être victimes.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.
Bonsoir,
Il y’a de plus en plus de chevaux mort dans d’atroces mutilations, les propriétaires n’ont pas les moyens de mettre des caméras non ?
Je serais propriétaire d’animaux j’emploierai tout les moyens nécessaires pour les protéger.
N’avez-vous pas envisagé que les agresseurs qui commettent ces atrocités peuvent avoir des compétences vétérinaires ?