Pourquoi s'en prendre à des animaux ? Des chevaux de course, des juments, des ânes, mais aussi des poneys, ont été mutilés et tués un peu partout en France cet été. Les enquêteurs ne parviennent pas à trouver qui commet ces crimes et pourquoi. "Se déchaîner sur des animaux, qui n'ont pas de réponse, c'est dingue. Et quelle barbarie. C'est comme enfermer quelqu'un dans une cave et lui couper un membre tous les jours", fulmine Nicolas, gérant d'un centre équestre de la région havraise. Il y a déjà eu des précédents, mais cette fois, la situation est encore plus dramatique. "Ces actes ont lieu dans tout le pays. Ce ne sont pas des gens qui se déplacent de département en département. Je n'ai pas la solution pour stopper l'hémorragie. Mais je crois savoir que les choses bougent un peu." Ce Seinomarin pense en particulier à une publication postée sur Facebook, le mercredi 26 août, par le journaliste Kamel Boudra.
Ce dernier a partagé un formulaire à remplir que l'on peut trouver à la gendarmerie pour demander une surveillance des prairies. Dans tout ça, Nicolas se dit chanceux, "car je n'ai pas de chevaux dehors. Ils sont dans des boxes. Et j'ai des caméras sur tout le site, nuit et jour. J'ai également des chiens. C'est en place depuis des années. Je me sens en sécurité. Mais attention, on ne sait jamais."
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