La révocation d'un adjoint de sécurité de la police nationale en poste à Rouen a été demandée, le jeudi 2 juillet, en conseil de discipline. Cette décision fait suite à la diffusion de propos racistes sur la messagerie WhatsApp. Mardi 30 juin, la révocation avait déjà été demandée pour trois premiers policiers rouennais.
Une autre décision en attente
Pour un autre adjoint de sécurité, agent contractuel de la police nationale, le conseil de discipline n'est pas parvenu à un avis ferme. "C'est au préfet de trancher désormais. C'est une affaire jugée prioritaire par le ministère", a indiqué une source syndicale.
L'affaire a démarré en décembre dernier avec le dépôt de plainte d'un policier noir, affecté à l'Unité d'assistance administrative et judiciaire, contre six de ses collègues de Rouen après avoir découvert qu'il était la cible de propos racistes de la part de ces derniers. Une enquête préliminaire avait été ouverte et l'Inspection générale de la police nationale avait été saisie.
Avec AFP.
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