C'est la fin d'une année scolaire particulière dans l'agglomération rouennaise, avec l'incendie de Lubrizol en septembre puis la crise sanitaire du Covid-19 qui a donné lieu à de multiples interruptions puis reprises des classes. Dans ce contexte, le personnel est resté mobilisé, comme les animateurs périscolaires, chargés de l'accueil des enfants avant ou après la classe notamment.
Un quotidien compliqué
Une cinquantaine d'entre eux s'est mobilisée, le jeudi 2 juillet, devant l'hôtel de ville de Rouen pour demander une meilleure reconnaissance de leur travail. "C'est compliqué au niveau activités manuelles, même entre enfant, car le contact n'est plus présent", explique une animatrice périscolaire. Elle regrette aussi qu'avec le port obligatoire du masque, les expressions du visage soient cachées, rendant plus difficiles certains échanges avec les écoliers.
Animatrices sur le quoditien
Autre inquiétude, face à l'apparition de cas groupés de Covid-19 dans des écoles, les animateurs périscolaires se sont dits inquiets, "même si nous prenons nos précautions".
Animatrices sur les clusters
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