Après un premier oral devant le gendarme financier du football français, d'où ils sont ressortis sans sanction immédiate mais avec un sursis d'une semaine pour clarifier sa situation et surtout apporter les garanties nécessaires quant à sa solvabilité future, les actionnaires ont encore négocié, le mardi 30 juin, avec d'un côté Pierre-Antoine Capton et son fonds d'investissement étranger, de l'autre, des actionnaires actuels qui veulent vendre leurs parts, mais à leur prix. Mais le club n'a pas le temps d'attendre indéfiniment, car ce jeudi 2 juillet, le second passage devant la Direction nationale du contrôle de gestion accouchera forcément d'une décision. Soit Capton s'est accordé avec les actionnaires et offre officiellement la garantie de la reprise du club, soit ce n'est pas le cas et une relégation administrative en National pourrait tomber, faute d'un budget dans les clous. "Il faut aller au bout avec les investisseurs pressentis, on va rentrer dans une nouvelle histoire du club", confiait Fabrice Clément, lundi 29 juin. Sans lui ? Probablement.
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