Syndicats et direction de Britanny Ferries se sont rencontrés samedi soir pour un dialogue sans issue.
La direction avait présenté un plan de retour à la compétitivité, visant à réduire les dettes du transporteur maritime, avec des baisses de salaires de l'ensemble du personnel. Les syndicats n'y sont pas opposés mais exigent des garanties. La société dont le siège est basé à Roscoff, doit faire face à un déficit abyssal.
Une nouvelle rencontre est programmée ce dimanche après-midi.
Pendant que le conflit perdure, et que tous les navires de la compagnie de ferries transmanche avaient cessé de naviguer le Normandy Express, bloqué à Portsmouth, est rentré à Cherbourg samedi soir. Le commandant du bâtiment a été contraint de reprendre la mer, après que les marins aient refusé de débarquer dans le port anglais.
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