La réouverture des commerces devra se faire dans le respect des règles barrière et de la distanciation. Cette vigilance devra être maximale, en particulier là où le contact est inévitable, comme dans les instituts d'esthétique.
"On n'a toujours pas reçu le protocole sanitaire relatif à notre profession", constate Sandrine Prévost-Merlin, coassociée à la tête de Gaïa, à Alençon. Habituée au respect de l'hygiène, elle aborde sa réouverture avec confiance, entre masques, gants, et de préciser : "douche avec savon obligatoire avant les soins du corps". Elle s'en est même amusée en diffusant une vidéo caricaturale sur les réseaux sociaux, destinée à rassurer ses clients. Sandrine Prévost-Merlin s'attend à ce que ses clientes "ne reviennent que progressivement, davantage préoccupée dans un premier temps par exemple par la reprise de l'école". Elle estime que les plus fidèles "reviendront vite, mais que les autres ne reviendront que très progressivement". Elle espère un retour à la normale en juin, mais pour l'instant, ses deux salariées restent au chômage partiel…
Ecoutez ici Sandrine Prévost-Merlin.
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