Parmi les soignants, figurent les pharmaciens. Ceux-ci peuvent être le premier contact d'un malade avec le milieu médical : répondre aux craintes des clients, vendre du gel hydroalcoolique et bien sûr vendre les traitements dont on a toujours besoin. Ils espèrent bientôt vendre des masques de protection au grand public.
"Ma place était d'abord là"
Au Havre, Agnès Firmin-le-Bodo est une pharmacienne un peu particulière, puisqu'elle est aussi députée. Depuis le début du confinement, elle passe ses journées dans son officine. "J'y suis du lundi matin au samedi soir. Ma place était d'abord là." Mardi 21 avril, Agnès Firmin-le-Bodo a repris, pour une journée, la direction de l'Assemblée nationale à Paris pour les questions au gouvernement. Ce sont les masques dits "grand public" qui étaient au cœur de ses interrogations. Pour l'instant, les pharmacies ne peuvent pas en vendre, mais elle ne doute pas qu'elles puissent le faire rapidement pour préparer le déconfinement. La députée espère aussi une filière de recyclage pour ces masques, pour qu'ils ne soient pas jetés avec les déchets ménagers.
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