Autre conséquence de la crise sanitaire et du confinement, les centres équestres sont désertés. Tous les cours et les stages sont annulés depuis le 17 mars. Mais les chevaux et poneys sont toujours présents dans ces structures, il faut donc s'en occuper, les nourrir, les soigner et maintenir une activité physique essentielle.
Une situation difficile à un moment où, traditionnellement, ces centres connaissent un regain d'activité pendant les vacances de Pâques, témoigne Yann Adam, directeur du pôle hippique de Saint-Lô.
Yann Adam
Et ce n'est pas sans avoir un coût, alors que ces vacances de printemps, permettent généralement de regonfler les trésoreries, selon Yann Adam.
Yann Adam
Illustration avec Jean-François Bourdon, responsable du centre équestre de Hauteville-sur-Mer, qui comprend une cinquantaine de chevaux.
Jean-François Bourdon
Face aux difficultés économiques, le comité départemental d'équitation se dit très à l'écoute des situations de chaque adhérent pour les accompagner et faire remonter au plus haut niveau les difficultés de ces professionnels.
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