Depuis, désoeuvré, il a commencé à s’alcooliser, parfois de façon massive et répétée. Il s’est de plus séparé de sa compagne, mère d’une jeune fille, après une communauté de vie de près de deux ans. Le 31 juillet, vers 20 h, cette dernière porte plainte pour des violences, gifles, insultes et crachats, de la part de son ex. Il serait rentré chez elle pour lui réclamer de l’argent, complètement ivre. Lorsque la femme appelle à nouveau le commissariat vers 3 h du matin, l’agresseur est revenu dans l’immeuble et donne de grands coups dans sa porte. Il est interpellé avec 1,88 g/l de sang, mais, lors de sa comparution immédiate du 3 août, il nie catégoriquement les violences alléguées dans l’après-midi. Un complément d’enquête est ordonné, pendant lequel le prévenu reste emprisonné.
Mercredi 5 septembre, en audience, l’enquête n’a pas permis de vérifier la véracité des dires du prévenu. Selon lui, son ancienne amie et sa fille se seraient entendu pour l’enfoncer et l’envoyer en prison. M. T. a été condamné à un an de prison, dont neuf mois de sursis. Durant sa mise à l’épreuve de deux ans, il devra se soigner, ne pas rencontrer son sa victime et lui verser 500€ de dommages.
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