L’enquête permet, malgré la mise en scène, de remonter jusqu’à deux jeunes Caennais de 25 ans et 21 ans.
A l’audience correctionnelle du jeudi 23 août, le premier répondait de recel de bien volé, et le second, de destruction du bien d’autrui par moyen dangereux en plus du recel de bien volé. Si les comparses reconnaissent avoir utilisé l’engin avant de l’incendier, "pour ne pas laisser de traces" comme peuvent le faire les auteurs de "gros casses", ils nient être les auteurs du vol.
Le premier a finalement été relaxé par justice. L’autre a écopé de trois mois de prison avec sursis et de 1.300€ de participation aux frais de réparation du vélomoteur.
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