La justice administrative a annoncé, le vendredi 7 février, avoir rejeté la demande de l'association Rouen Respire réclamant l'annulation de la réouverture partielle de l'usine Lubrizol, qui a redémarré mi-décembre.
"Le juge des référés a considéré qu'aucune des critiques formulées par l'association n'était de nature à susciter un doute sérieux sur la légalité de la décision", a indiqué le tribunal administratif dans un communiqué. "On avait montré (à l'audience) que cette réouverture a été précipitée. On a mis en place une procédure sur le fond et on espère obtenir gain de cause", a réagi Olivier Blond, président de Rouen Respire, qui pointe également "un manque profond d'études de risques".
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