Seulement une trentaine d'entre eux sont issus d'un bac général, le reste provenant de filières technologiques ou professionnelles, a précisé Mme Vidal lors de sa conférence de presse de rentrée.
L'an dernier, un total de 955 bacheliers étaient sans affectation à l'issue de la procédure Parcoursup, soit 0,15% des lycéens ayant confirmé un voeu.
Cette année, cette proportion augmente très légèrement pour les bacheliers puisqu'ils sont 0,18% à ne pas avoir obtenu une place dans l'enseignement supérieur, selon les calculs de l'AFP.
Après une deuxième année de fonctionnement de la plateforme, la ministre a par ailleurs estimé que les premiers signaux étaient "encourageants" s'agissant du taux d'échec en première année de fac.
Très contestée, la loi "Orientation et réussite des étudiants" (ORE), promulguée en 2018, visait notamment à réduire ce taux d'échec (qui était jusque-là de 60% en moyenne), en permettant à chaque université de fixer des pré-requis pour choisir ses étudiants.
Cette année, quelque 110.000 candidats "en reprise d'étude", dont des adultes en reconversion, se sont aussi inscrits sur la plateforme. "Nous ne nous y attendions pas car ce sont des profils éloignés de Parcoursup mais cet afflux est une bonne nouvelle" car elle démontre "un appétit de formation", a commenté la ministre. Elle a annoncé la création en 2020 d'un nouveau module, "Parcourplus", qui leur offrira une "offre spécifique d'information, d'accompagnement et de formation".
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