Les parents encourent la réclusion criminelle à perpétuité, pour 5 longues années de violences et de torture. Un véritable calvaire que vivait la petite fille au quotidien, et qui a abouti à son décès, en 2009.
Lundi, la justice s'est notamment intéressée au suivi des services sociaux du Conseil Général de la Sarthe, qui se sont révélés prisonniers de leurs protocoles et n'ont pas vu l'urgence à sauver Marina.
Dans un courrier : Jean-Marie Geveaux, président du Conseil Général de la Sarthe, soutient ses agents.
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