Au mur et sur les quelques étagères des deux salles du restaurant, un vieux téléphone, une vieille radio, une vieille télévision, des livres de toutes sortes. En fond musical, un air authentique de jazz. C’est bien connu : c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes !
En toute simplicité
Ce midi, nous nous installons dans la salle du fond, celle avec une baie vitrée en demi-cercle donnant sur la rue. Des cacahuètes dans leur coquille nous attendent sur la table recouverte de toile cirée. Ambiance simple, certes, mais dans l’ère du temps : le service est rapide, sympathique et la cuisine à la fois traditionnelle et goûtue. C’est la chef elle-même qui nous présente la carte: saucisse frites, tarte salée, pavé de rumsteack et quelques salades de bonne taille. En plat du jour, carpaccio de bœuf et pommes paillassons, ou “Le Boucher” façon centenaire, un tartare mi-cuit assaisonné. J’opte pour le premier. C’est bien préparé, bien calibré. Pour terminer, je privilégie le fondant aux deux chocolats aux glaces ou à la “framboisine”, dessert entièrement à base de framboise. Plat et dessert, vin compris, s’élèvent à 12,50 €. Une bonne table pour s’évader à moindre coût.
Le Centenaire, 29 rue Caponière. Tél. 02 31 86 22 46.
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