L'association avait porté plainte contre le rappeur originaire d'Alençon en raison de son clip "Sale Pute" dans lequel il prend les traits d'un jeune homme trompé par sa femme. Comme le laisse supposer le titre de la chanson, les paroles décrivent avec violence les femmes et parlent par exemple d'"avortement à l'opinel".
Choquée, l'association "Ni Putes Ni Soumises" avait alors entamé une procédure judiciaire à l'encontre d'Orelsan pour provocation au crime rappelant qu'une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son compagnon. Le tribunal a finalement décidé de retenir la liberté d'expression artistique et a donc relaxé le rappeur.
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