Les suites de l'enchaînement d'une famille aux grilles du site d'enfouissement des Ventes-de-Bourse, près d'Alençon (Orne) : le groupe parisien Desjouis, mis en cause en tant que promoteur dans cette affaire, explique dans un communiqué que, si la vente de la ferme familiale ne s'est pas faite, c'est parce que la famille a "exigé une augmentation du prix et des conditions supplémentaires, éléments que nous ne pouvions agréer et qui ont, de fait, annulé la vente". Nicolas Desjouis dit se tenir "à la disposition de tous pour organiser une rencontre afin de trouver une issue".
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Homonymie embarrassante : le groupe de transport Desjouis basé à Mortagne-au-Perche (Orne), géré par la famille Gaudré, précise qu'il n'a strictement rien à voir avec Michel Desjouis et qu'il est totalement étranger à cette dramatique affaire des Vnetes-de-Bourse.
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