Est-ce que la préparation de cette édition a été spéciale ?
"On a un avantage, c'est que nos équipes sont là depuis longtemps. Elles sont rodées et ce n'est pas leur première Armada. Mais on était quand même surpris par les demandes de prestations, de réservations, de cocktails... En volume, à la mi-avril, on était déjà à 12% d'augmentation par rapport au chiffre global de la dernière édition."
Une étude indiquait que l'image de Rouen n'était pas très bonne... Est-ce que l'Armada est l'outil idéal pour casser les préjugés ?
"Avec Cathédrale de lumière, ce sont les deux événements qui parlent le plus aux Français quand ils pensent à Rouen. Par exemple, cette étude dit que 50% des Français pensent qu'il n'y a pas de travail dans l'automobile ou dans les assurances à Rouen. Avec tous les décideurs qui vont venir, pourquoi ne pas se servir de ces événements pour reconstruire notre image ?"
Dans le futur, qu'est-ce qui fera que l'on se souviendra de cette édition comme d'une réussite ?
"C'est ma troisième Armada, je garde un meilleur souvenir de celles où il y avait du soleil ! Je pense qu'elle restera bonne touristiquement, on n'a pas beaucoup de doute, et elle confirmera qu'elle était bonne si tout le monde arrive à faire des affaires et à redynamiser encore plus l'emploi et le territoire. L'Armada, c'est un accélérateur phénoménal !"
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