Le procureur avait requis trois ans dont un de sursis avec mise à l'épreuve et demandé le maintien en détention du prévenu, pour un geste d'une "violence inouïe" contre deux gendarmes, dont l'un s'est vu prescrire 2 jours d'ITT et l'autre n'a toujours pas repris le travail, après 40 jours.
A LIRE AUSSI.
Dakar-2017: à l'ombre de la haute montagne bolivienne
"Si je reste vivant": chroniques de la ghouta
Centenaire du 11 novembre: six symboles personnels du conflit
La trêve humanitaire en Syrie adoptée à l'ONU
Que reste-t-il de la guerre 14-18 dans les familles ? Des descendants racontent
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.