Et dans le domaine, le SCOT s’impose comme le mettre mot incontesté. Le Schéma de la Cohérence Territoriale est en effet l’outil indispensable pour dessiner le développement des terrains à bâtir.
“Un projet d’aménagement global”
Les équipements collectifs, l’efficacité des réseaux de transport et le développement économique des différents secteurs de l’agglomération caennaise sont les critères qui nourrissent la réflexion des professionnels. “Notre métier a changé”, précise Sébastien Jean, directeur de l’agence Foncim à Caen, spécialisée dans le lotissement et l’aménagement foncier .
“La réflexion est nettement plus poussée aujourd’hui. Depuis l’exposition au soleil, la place de parking, le choix des végétaux qui ornent les allés, les clôtures, jusqu’à l’emplacement de la boîte aux lettres... nous travaillons sur un projet d’aménagement global”.
350 m2 en moyenne pour une parcelle
Actuellement, la tendance est à la réduction de la taille des parcelles, avec une moyenne de 350 m2.
Moins d’espace donc (entre 40 et 60 logements par hectare en ville), ce qui ne ternit pas pour autant la qualité de vie. “On personnalise le terrain, de sorte que l’acquéreur se l’approprie, se sente chez lui en développant un espace de vie privatif”.
Si à Caen et dans sa périphérie, la moyenne est de 90 000 € pour une parcelle, elle diminue à 55 000 € aux frontières de l’agglomération.
“Urbanistes, techniciens, architectes, constructeurs et institutions, chacun ajoute son grain de sel. Il n’y a pas une mais “des” bonnes idées pour soutenir l’acquéreur dans son parcours résidentiel”.
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