La faiblesse des précipitations hivernales a provoqué un déficit de recharge en eau et entraîné un abaissement rapide du niveau des rivières et des nappes d'eaux souterraines utilisées pour l'alimentation en eau potable.
Si la situation perdurait, les niveaux bas de ressources en eau, normalement observés fin août, début septembre, pourraient être atteints dès la mi-mai, soit avec trois mois d'avance.
Ces constats justifient le placement de l'Orne au niveau "vigilance", qui correspond au premier des trois niveaux (vigilance, alerte, crise) déterminant l'importance des mesures à prendre en cas de sécheresse. L'Etat invite donc l'ensemble des usagers à réduire autant que possible ses prélèvements.
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