Il a notamment animé un meeting dans la soirée au centre des congrès, devant 350 personnes. Le successeur d’Olivier Besancenot, a fait savoir “qu’en cas de victoire socialiste à la présidentielle, son parti ne rejoindra pas un éventuel gouvernement de gauche”, estimant qu’il n’y à “rien attendre du PS pour aider les opprimés.”
Une partie de l'électorat se demande également pourquoi le NPA ne se rallie pas à la candidature de Jean-Luc Mélenchon, chef de file du Front de gauche, dont les intentions de vote tutoient la barre des 15% selon les sondages. La réponse de Philippe Poutou dans notre player.
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