Vainqueur le week-end dernier pour son premier match de Top 12 féminin, l'Élan gymnique rouennais (Seine-Maritime) prépare déjà sa prochaine grosse échéance. Éric Pasquelin, l'entraîneur de l'EGR, évoque ce début de saison capital.
Quels sont vos atouts, avant de recevoir Saint-Étienne ?
Notre force, c'est sur les barres asymétriques et la poutre. Mais ça, c'est à condition de rester sur l'agrès ! Saint-Étienne c'est une très bonne équipe… On ne part pas favori car ils ont l'habitude d'être en haut. Donc il faudra être fort et surtout ne pas tomber pour ne pas les laisser gagner.
Quel est l'objectif que vous vous fixez pour cette saison ?
Déjà, on revient d'une belle victoire à Schiltigheim. Ça nous donne moins de pression par rapport au maintien. Là, si on bat Saint-Étienne, on sait que l'on pourra jouer la finale (qui se disputera au Kindarena de Rouen en avril 2019, NDLR). Mais je suis sûr que nous avons le potentiel, avec les filles que nous avons, pour jouer le Top 6.
Quel est votre rôle, juste avant que les gymnastes ne montent sur l'agrès ?
Ça dépend des filles… Avec les plus jeunes, il faut être là pour les aider et redonner quelques consignes jusqu'au dernier moment. Pour les filles plus expérimentées, c'est différent. Elles savent ce qu'elles ont à faire, elles sont concentrées sur leur propre routine, leurs manies, sur leurs mouvements.
Qu'est ce qui peut faire la différence, dans un match aussi important ?
À Schiltigheim, les filles étaient très soudées. J'étais assez surpris parce qu'elles ne s'entraînent pas toutes ensemble, entre celles qui sont ici et celles qui sont partout en France sur les différents pôles… Je pense vraiment que ça peut nous aider. Et puis c'est bon aussi pour le moral d'arriver avec une victoire. La dynamique elle est bonne, il faut continuer dans ce sens-là.
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