Salle comble pour ce meeting à la Halle aux Toiles d'Alençon, ce mercredi soir.
Joachim Pueyo, maire d'Alençon; puis Frédéric Léveillé, 1er secrétaire du PS de l'Orne; et enfin le président du Conseil Régional de Basse-Normandie Laurent Beauvais "chauffent" la salle. Puis Bertrand Delanoë entre en scène.
45 minutes qui se veulent "positives", mais sans oublier, l'air de rien, de tacler le président sortant, sur la stigmatisation des différences, sur la détresse sociale, sur "celui qui vient de découvrir que les grandes entreprises sont moins taxées que les petites".
La salle exulte.
Mais Bertrand Delanoë insiste aussi sur la perte de confiance des français, sur la crise des valeurs, sur "l'enjeu après les élections de d'abord recréer la confiance".
Education, sécurité, santé, emploi.
Il est déjà l'heure de reprendre le TGV pour Paris. Bertrand Delonoë termine son allocution sur la nécessité pour les sympathisants de gauche : de voter pour le PS dès le 1er tour de la présidentielle. Personne n'a oublié 2002...
Ecoutez-le ci-dessous:
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