Pourtant des tribunes, l’impression était toute autre, statistiques à l’appui. Face à l’actuel dauphin du Paris Saint-Germain, les hommes de Franck Dumas n’ont pas vu le jour, à l’exception de deux occasions en première mi-temps, bien conclues par Pierre-Alain Frau, qui n’a toutefois pas pu attraper le cadre. “Si on avait eu quelque chose à faire, il fallait le faire en première mi-temps”, concédait le coach, Franck Dumas.
Une classe d’écart
Avec 14 tirs cadrés en sa faveur et 65% de possession de balle, Montpellier a fait honneur à son rang. Et il y avait sûrement la possibilité... de prendre plus de buts côté caennais, sans un Alexis Thébaux des grands soirs. A son meilleur niveau, le portier malherbiste a sorti des arrêts héroïques, comme cette aile de pigeon pour détourner une tête à bout portant de Rémy Cabella (70’). La charnière Heurtaux-Sorbon a semblé tenir bon, mais le rouleau compresseur héraultais, qui s’est surtout illustré dans les couloirs et au milieu de terrain malgré l’absence de Younes Belhanda, s’est chargé de faire la différence.
Le point d’avance que conserve Caen sur le premier relégable se fait tout petit au moment d’affronter le PSG, actuel leader de la Ligue 1, samedi 17 mars (19h).
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