Le nombre de véhicules en sa possession a ainsi diminué de 125 en 2007 à 114 aujourd’hui, dont sept pour l’usage de la police municipale. Sans compter les utilitaires : 52 fourgonnettes, 86 fourgons, 12 balayeuses, 5 laveuses, une quinzaine d’engins BTP, 8 motos pour la police et 33 petits porteurs, dont 17 “Goupil”, qui fonctionnent avec un moteur électrique.
Côté deux-roues, la Ville compte 6 scooters, utilisés essentiellement par les employés aux espaces verts, ainsi que 115 vélos, dont 25 à assistance électrique. “Et ils ont du succès, précise Rudy L’Orphelin, maire-adjoint à l’environnement. Du coup, on vient d’en commander quinze de plus”.
Les agents boudent les voitures électriques
Pour améliorer son bilan carbone, la mairie a d’abord misé sur une bonne organisation en interne, à l’aide d’un logiciel qui permet une meilleure répartition des véhicules. “Entre 2008 et 2011, nous avons réussi à diminuer notre rejet en CO2 de 18%, et nous tablons sur 4% de plus pour 2012”, explique Marc Levilly, maire-adjoint à l’énergie.
La municipalité a aussi “dégradé” ses véhicules les plus polluants en optant systématiquement pour des modèles de gamme inférieure au moment de les remplacer. Par exemple, les Laguna ont été remplacées par des Mégane, et les Mégane par des Clio ou des C1.
Actuellement, 20% des voitures municipales fonctionnent au GPL et 80% au gazole et à l’essence. La mairie compte disposer de six automobiles électriques d’ici à la fin de l’année. “Des Twizy de chez Renault à 7 000 € probablement”. Les deux seules voitures électriques acquises jusqu’à présent ont été revendues à EDF, les agents municipaux les ayant délaissées au profit des véhicules plus traditionnels...
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