Entendu le 20 juillet comme témoin par les juges d'instruction, le ministre des Affaires étrangères de 2012 à 2016, et actuel président du Conseil constitutionnel, a fait valoir qu'"aucun élément d'information" ne lui était parvenu concernant le maintien en Syrie de Lafarge au prix d'arrangements financiers avec des groupes armés dont l'organisation Etat islamique, selon son audition révélée par Le Monde et qu'a pu consulter l'AFP.
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