Un Français sur deux s'est déjà senti coupable en dévorant ce qui est considéré comme de la malbouffe, révèle cette enquête. Il peut s'agir de pâtes à tartiner (37 %), de sucreries (37 %), de chips (37 %), de hamburgers (36 %), de plats préparés (33 %), de kebabs (32 %), de frites (31 %), de pizzas (29 %), de chocolat (29 %) ou de glace (27 %).
Les femmes sont davantage concernées par ce sentiment de culpabilité. Ainsi, 41 % des Françaises ont honte de succomber à la tentation de la pâte à tartiner, quand ils ne sont que 34 % d'hommes. Le ratio est même de 42 % pour les femmes et 32 % pour les hommes quand il s'agit de sucreries.
Puisque les femmes doivent faire face au diktat de la société, les sondées ne boudent pas leur plaisir et sont même plus nombreuses que les hommes à savourer un morceau de chocolat (57 % contre 48 %) ou une glace (50 % contre 44 %). Pour les deux sexes confondus, l'or noir constitue ce qui procure le plus de bien-être (53 %), avec les glaces (47 %) et les frites (38 %). Selon l'Ifop, le propre de la malbouffe est d'être consommée en fonction du plaisir qu'elle suscite.
Résultat, 22 % de personnes interrogées avouent même avoir déjà caché avoir englouti des bonbons, une pizza, un burger ou un autre aliment jugé peu sain.
L'enquête a été menée auprès d'un échantillon de 1.030 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, pour Natura-santé.fr
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