Cette enquête, confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne, vise également l'"usurpation de signes réservés à l'autorité publique", a précisé le parquet.
Depuis mercredi soir, et la révélation de cette affaire par le journal Le Monde, plusieurs responsables politiques ont appelé à des sanctions à l'encontre de ce collaborateur, Alexandre Benalla, et réclamé que la justice soit saisie des faits.
Le porte-parole de l'Elysée, Bruno Roger-Petit, a réagi jeudi matin en annonçant que M. Benalla avait déjà été mis à pied pendant quinze jours, sans salaire, et qu'il ne s'occupait plus de la sécurité des déplacements présidentiels.
"Cette sanction vient punir un comportement inacceptable et lui a été notifiée comme un dernier avertissement avant licenciement", a ajouté M. Roger-Petit.
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