Les deux premières sont classées en hors catégorie: la montée de Bisanne (12,4 km à 8,2%), escaladée pour la deuxième fois dans l'histoire de l'épreuve, est abordée une douzaine de kilomètres seulement après le départ.
A partir de Beaufort, réputé pour son fromage, le col du Pré impose ensuite une ascension de 12,6 kilomètres à 7,7% de pente. Au sommet, peu après la mi-course, la vue porte très loin, jusqu'au massif du Mont-Blanc, avant les derniers kilomètres du Cormet de Roselend (2e catégorie).
La descente, piégeuse, conduit à Bourg-Saint-Maurice puis au pied de l'ascension finale classée en première catégorie, par les lacets de Montvalezan (17,6 km à 5,8%).
"La dernière ascension n'est pas propice à ce qu'il y ait de gros écarts entre les favoris. Un groupe est souvent avantagé au pied de l'ascension ou sur le haut", estime Romain Bardet, qui avait été dominé lors du Dauphiné, dans une étape quasi comparable, par Geraint Thomas.
La Rosière, une station de 700 habitants située sur les pentes du col du Petit-Saint-Bernard à la frontière franco-italienne, accueille le Tour pour la première fois.
L'arrivée à La Rosière est attendue vers 17h23 (prévision à 33 km/h de moyenne).
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