Au-dessus des trois claviers et au milieu des “registres” (manettes contrôlant les sons de l’orgue), un petit écran électronique a fait son apparition : un “combinateur”. “L’appareil permet de programmer des combinaisons de timbres sans avoir à tirer de registres. Il fallait parfois trois personnes, une seule est aujourd’hui nécessaire. Les organistes peuvent maintenant se concentrer uniquement sur la musique”, se réjouit Marianne Lévy-Noisette, organiste titulaire à St-Pierre. “Les musiques du XXe siècle, qui requièrent beaucoup de changements, sont maintenant à notre portée !” Le petit outil, attendu depuis 14 ans, est unique à Caen. Il vient de donner une nouvelle vie à Saint-Pierre.
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