Mouvement de grève, jeudi 29 mars 2018. Les centrales à charbon du Havre (Seine-Maritime) et de Cordemais (Loire-Atlantique) étaient à l'arrêt à l'appel de la CGT. Le syndicat demande au gouvernement un moratoire sur leur fermeture prévue en 2022.
Manifestation au Havre
Au Havre, une centaine de salariés de la centrale thermique et du port ont bloqué dans la matinée un rond-point proche du site. Le blocage a duré environ 1h30. Le site havrais est à l'arrêt depuis le 3 mars 2018 en raison d'un mouvement social.
Les deux autres centrales à charbon françaises (à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône et à Saint-Avold en Moselle), encore en activité n'étaient pas touchées par la grève. À Gardanne, la centrale est à l'arrêt mais pour raison technique.
avec l'AFP
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