"Pendant les 24 heures de ma garde à vue, j'ai essayé avec toute la force de conviction qui est la mienne de montrer que les indices graves et concordants qui sont la condition de la mise en examen n'existaient pas (…) Depuis le 11 mars 2011, je vis l'enfer de cette calomnie", a déclaré l'ancien président de la République, en demandant à être placé sous le statut de témoin assisté. Il a été mis en examen mercredi soir pour "corruption passive", "financement illégal de campagne électorale" et "recel de fonds publics libyens".
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