“La SNCF développe des valeurs de solidarité et de citoyenneté et cherche à développer l’insertion”, a rappelé Roland Bonnepart, directeur des régions SNCF de Paris Saint-Lazare et de Haute et Basse-Normandie. L’expérience a déjà été tentée en 2009 en Seine-Maritime. Les personnes concernées ont participé à des opérations d’entretien et de maintenance, ou auprès des voyageurs (port de bagages, aide aux personnes à mobilité réduite, etc.) Les TGIstes, ainsi surnommés dans le milieu, exécutent ainsi leur peine tout en restant “dans le cadre de leur vie quotidienne”, a précisé Eric Morinière, directeur du Service pénitentionnaire. “C’est une alternative à la prison. Elle a une dimension réparatrice du délit commis”. Le TIG est non rémunéré et d’une durée maximale de 210 heures.
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