Avec 1,71 g d’alcool par litre de sang, il vocifère dans la rue et commence à taper sur les véhicules de ses voisins. Sa compagne appelle la gendarmerie. L’arrivée des militaires accentue son énervement. Les insultes et menaces pleuvent. Puis, il monte chez sa mère et menace de sauter par la fenêtre. Il s’auto-mutile les avant-bras. En urgence, le préfet accorde une hospitalisation d’office du 24 au 28 novembre. En comparution immédiate le vendredi 2 décembre, c’est un homme calme et regrettant ses actes qui comparaît. Mais le rapport psychiatrique l’accable, tout comme son casier judiciaire et une autre comparution prévue en janvier pour des violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
M.G a été condamné à deux ans d’emprisonnement, dont un avec sursis. Un sursis antérieur de huit mois s’est aussi trouvé révoqué. Les gendarmes n’ont pas exigé de dommages et intérêts mais ont demandé son expulsion de la commune. Leur souhait a été exaucé.
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