Une décision qui doit pouvoir pallier la pénurie de médecins dans certains secteurs de Basse-Normandie, dont l'offre est très inégalement répartie.
A Caen, "moins d'une dizaine" de nouvelles places devrait être débloquée. Un "début de réponse" qui s'ajoute à d'autres, et qui devrait avoir aussi d'autres vertus, comme l'explique Jean-Louis Gérard, le doyen de la faculté de médecine de Caen :
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