L'EPIDE, école deuxième chance qui accueille et forme à Alençon 120 jeunes volontaires en situation difficile, âgés de 18 à 25 ans, pour les amener à une formation ou à un métier, organisera une sorte de "camp d'été", l'été 2018, sans doute au Haras du Pin, avec de jeunes femmes actuellement volontaires.
Jeunes femmes invisibles
L'originalité consiste à emmener avec elles, d'autres jeunes femmes, sans emploi, âgées elles aussi de 18 à 25 ans, issues des quartiers prioritaires d'Alençon, Flers, Argentan, et L'Aigle. Une jeune femme sur deux dans ces quartiers est hors de l'emploi.
Vers une formation ou un emploi
L'objectif est de les mener vers une formation ou un emploi ; mais avant tout de les sortir de chez elles, avec des activités culturelles ou physiques, mais aussi des échanges et des ateliers thématiques. Viviane Le Thomas, directrice de l'EPIDE d'Alençon :
Viviane Le Thomas
À l'issue de ce "camp d'été", les tuteurs de l'EPIDE continueront à accompagner les jeunes femmes issues des quartiers prioritaires.
Cette initiative est regardée avec beaucoup d'intérêt à Paris : les visites du ministre de la Cohésion des territoires et de la secrétaire d'État à l'égalité les femmes et les hommes sont attendues lors de ce "camp d'été" ornais.
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