Qu'est-il advenu du MH370, le vol de la Malaysia Airlines qui a disparu le 8 mars 2014 alors qu'il devait relier Kuala Lumpur à Pékin ? Depuis bientôt quatre ans, les proches des 239 victimes n'ont pas de réponse. Alors quand la reprise des recherches a été annoncée vendredi 12 janvier 2018, certaines familles ont retrouvé un peu d'espoir, même si beaucoup doutent de la zone concernée par ces investigations. C'est le cas de Ghyslain Wattrelos qui a perdu sa femme et deux enfants de Dieppe (Seine-Maritime) dans la tragédie.
"On essaie de nous faire croire que l'avion est tombé là-bas"
Ni corps, ni épaves, ni boîtes noires n'ont été retrouvées. "On ne va pas cacher notre joie de la reprise des recherches puisque ça fait un an qu'on attend ça, explique-t-il. On n'a pas compris pourquoi l'Australie avait arrêté les recherches pendant un an."
Ghislain Wattrelos, proche de victimes
Les investigations doivent être menées sur une zone de 25 000 km² dans l'océan indien. Ce sont bien des images captées par des satellites français d'objets flottants dans ce secteur qui ont conforté les autorités à se concentrer sur cette partie du globe située à l'ouest de l'Australie. "Je ne crois pas deux secondes à la zone de recherche. On essaie de nous faire croire que l'avion est tombé là-bas, mais il n'est pas tombé là-bas. Si on ne trouve rien, ça veut dire qu'on nous a menés en bateau. Je suis sûr qu'on nous cache quelque chose [...] car cette région du monde est très surveillée militairement". Il est persuadé que cet avion a été abattu.
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Il faut raison garder et ne pas tomber dans le "complotisme". Voyons déjà ce que vont donner les recherches. La zone de recherche qui va être explorée par le bateau Seabed Constructor a été choisie en continuité avec les hypothèses des précédentes recherches c'est-a-dire d'un vol automatique sur la fin sans pilote.
Nous avons fait une étude d'un vol piloté jusqu'a la fin en prenant une approche opérationnelle incluant les modes de vol de l'avion, la structure et les routes de l'espace aérien, les données Inmarsat, la consommation de carburant ainsi que l'analyses de dérive des débris.
Une trajectoire pilotée de A a Z est tout a fait plausible et conduit tout prêt de Christmas Island.
L'avion voulait atterrir sain et sauf sur cette ile mais est tombé a court de carburant. En tentant un amerrissage, il s'est probablement brisé.
Notre rapport est disponible sur www.mh370-captio.net.
Ah le fameux mot "complotisme" balancé à toutes les sauces dès que quelqu'un se pose des questions sensées! Mr Wattrelos a 1000 fois raison,on lui ment et vous Mr Marchand n'êtes qu'un desinformateur au service du mensonge!!!
Renseignez vous sur la personne qui fait ce témoignage avant de proférer de tels arguments Mr Marchand. Beaucoup de zones d'ombres dans cette affaire et beaucoup de non dit. Vos arguments se contredisent d'ailleurs "un vol automatique sur la fin sans pilote" "L'avion voulait atterrir sain et sauf sur cette ile", il faudrait savoir entre un vol piloté par la main humaine ou par un ordinateur. Gardez vos oeillère...