Les surveillants pénitentiaires se mobilisent à échelle nationale, lundi 15 janvier 2018, après l'agression de quatre d'entre eux la semaine précédente à la prison de Vendin-le-Vieil, dans le Pas-de-Calais. Un mouvement suivi en Normandie : par exemple avec un blocus du centre pénitentiaire de Condé sur Sarthe, près d'Alençon ou encore à Caen devant la Maison d'arrêt et le Centre pénitentiaire.
Un ancien directeur de prison
Le député de l'Orne (Nouvelle Gauche) Joaquim Pueyo est allé à la rencontre des surveillants. Avant d'être parlementaire, il a dirigé les plus grandes prisons de France et il a été inspecteur de l'administration pénitentiaire. Autrement dit, il connaît particulièrement bien la problématique des surveillants qui se font agresser :
Joaquim Pueyo
Membre de la commission de la Défense de l'Assemblée nationale, Joaquim Puyeo fera remonter les revendications des surveillants à Emmanuel Macron, qu'il accompagnera vendredi 19 janvier à Hyères, dans le Var, où le président ira présenter ses vœux aux forces armés.
Dans l'Orne, c'est également le blocus au centre de détention d'Argentan-Coulandon.
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