Elle illustre l’importance que revêt pour la marque ce modèle d’accès au prestigieux macaron bleu et blanc. La première génération ayant réussi son affaire, la seconde la suit à la trace. Mais sans recourir aux mêmes armes ! A commencer par le style extérieur qui lui insuffle davantage de caractère. Au travers notamment d’un capot nervuré, ou de grands phares triangulaires qui mettent en relief la rituelle calandre “en double haricot” de la marque.
Connectée à internet
La nouvelle génération a été allongée de 8,5 cm, gagnant aussi 1,7 cm en largeur pour une hauteur inchangée. Cela se traduit dans l’habitacle par un bénéfice de 2,1 cm supplémentaires pour les genoux aux places arrière, et une capacité de coffre en hausse de 30 litres.
A bord, tout est haut de gamme. La planche de bord se signale par sa console centrale élargie et un grand écran central couleur. Moult aides à la conduite innovantes sont proposées… en option. Et avec l’exclusif Pack ConnectedDrive de pointe, l’auto communique avec internet, recevant les infos trafic en temps réel.
Architecturalement parlant, elle est à la pointe par sa masse abaissée de 30 kg. Comme l’ensemble des BMW, la Série 1 est une propulsion, moteur avant et roues arrière motrices.
Extrapolés de la gamme Mini, les 4 cylindres essence ont du ressort, mais font aussi valoir une sobriété et des émissions de CO2 guère éloignées de celles des diesels, notamment grâce à la généralisation du start-stop.
Au volant, il suffit de dévaler un col de montagne pour la sentir littéralement “sur des rails”, tant elle épouse la trajectoire. Plutôt souple, et d’ailleurs confortable, la suspension conventionnelle induit du roulis, sans pour autant ternir son assurance. Enfin, “pied léger”, on stabilise la consommation entre 7,4 l. à 12,6 l./100, essence ou diesel.
Prix. 24 versions essence et diesel de 25 450 € à 38 500 €.
Repères
Une “BM” française: Outre le fait que BMW fait la mise au point des bases roulantes de tous ses prototypes sur son site d’essais de Miramas, entre Istres et Salon-de-Provence, c’est un designer français, Nicolas Huet, ayant ses attaches en Touraine, qui a tracé les volumes de la nouvelle Série 1.
A la carte : Malgré cinq niveaux d’équipements, BMW accentue l’individualisation avec deux exécutions plus typées, l’une tonique (Sport) et l’autre raffinée (UrbanLife), afin de s’accorder aux goûts de chacun. Fort de l’expérience Mini, les possibilités de personnalisation par accessoires ont également été démultipliées.
Moins consommer : Tout en cultivant la sportivité de ses modèles, BMW a joué un rôle pionnier dans la chasse au CO2 avec la standardisation du programme EfficientDynamics. Un nouveau pas en avant a encore été accompli avec le mode “ECO PRO”.
Verdict : 15.5/20
Sécurité ****
Finition ****
Confort ****
Economie d’usage ***
Séduction/Prix **
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