Avec l’hiver qui approche, les risques d’intoxication sont accrus, tout particulièrement parce qu’à la maison comme dans les entreprises, l’heure est à l’allumage du chauffage. Il s’agit d’un gaz “indétectable” par les sens humains, car inodore. “Il est issu de la combustion imparfaite de combustibles solides, liquides ou gazeux”, explique Catherine Boutet, ingénieur sanitaire à l’Agence régionale de santé.
Les particuliers sont donc inviter à bien aérer leur logement et à faire vérifier les chaudières, poêles, et autres chauffe-eaux, par un professionnel. Une vérification qui est même obligatoire. Mots de tête, nausée et vomissements peuvent faire partie des symptômes. “En cas d’urgence, il faut aérer immédiatement les locaux, arrêter les appareils à combustion, évacuer au plus vite et appeler le 112 ou le 15”, assure Noëlla Malherbe, l’une de ses collègues.
Audio > Catherine Boutet, ingénieur sanitaire à l’Agence régionale de santé de Basse-Normandie, nous explique ce qu'il faut faire en cas d'urgence.
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