"Le décompte est plus que clair et indiscutable, nous avons gagné cette élection", a-t-il déclaré devant les militants du Partido Nacional (PN, droite).
Peu après, un de ses principaux opposants, Salvador Nasralla, 64 ans et candidat de l'Alliance de l'opposition contre la Dictature, une coalition de partis de gauche, a lui aussi affirmé être en tête.
La décision de la Cour constitutionnelle d'autoriser la candidature de l'actuel président, M. Hernandez, alors que la Constitution interdit toute réélection, est dénoncée par l'opposition.
Arrivé au pouvoir en 2013 après des élections contestées par la gauche, Juan Orlando Hernandez, 49 ans, figure parmi les trois candidats, sur neuf, qui ont une chance de l'emporter lors de ce scrutin à un seul tour, selon les derniers sondages.
Outre M. Nasralla, journaliste de télévision et novice en politique, Luis Zelaya, 50 ans, du Partido Liberal (PL), l'autre formation de droite du pays, figure aussi dans le trio de tête.
MM. Nasralla et Zelaya ont averti qu'ils ne reconnaîtraient pas une réélection du président Hernandez.
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