Les caméras de surveillance installées dans les deux chambres sécurisées des détenus, lorsqu'ils doivent subir des soins à l'hôpital d'Argentan (Orne), ont été démontées début novembre 2017, car l'Observatoire international des prisons demandait à "préserver l'intimité de ces détenus".
Les personnels veulent un dispositif de sécurité
Près d'Argentan, à Coulandon, est implanté un important centre de détention, dont le syndicat professionnel de surveillants Ufap-Unsa-Justice réclame ce dimanche 12 novembre 2017, dans un communiqué, qu'un dispositif de remplacement soit rapidement mis en place pour assurer aussi bien la protection physique du détenu, que celle du personnel qui intervient dans ces chambres.
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