Avec la police de sécurité du quotidien, la volonté gouvernementale est de rapprocher les forces de l'ordre de la population. Mais pour être davantage présent sur le terrain, il faut, par exemple, perdre moins de temps sur certaines procédures pénales. C'est aussi les contrôles d'identité en temps réel grâce à l'usage des nouvelles technologies.
Revenir davantage sur le terrain
Cela suffira-t-il à dégager suffisamment de temps aux forces de l'ordre pour revenir davantage au contact de la population? Chacun des 150 700 policiers, chacun des 100 812 gendarmes, est invité à donner son avis. Exemple dans l'Orne, avec le colonel Baillargeat, patron des gendarmes de ce département:
Colonel Baullargeat
Des consultations seront aussi organisées dans les quartiers prioritaires (dans l'Orne à Alençon, Flers, Argentan, L'Aigle) avec: forces de l'ordre, parlementaires, élus locaux, bailleurs sociaux, Éducation nationale, société de transport urbain…
Chantal Castelnot, préfète de l'Orne:
Chantal Castelnot
Fin de cette concertation le 20 décembre 2017, pour le lancement des premières expérimentations sur le terrain, dès janvier 2018.
A LIRE AUSSI.
Macron réunit policiers et gendarmes pour leur fixer un cap
Collomb lance la "grande concertation" sur la police de sécurité du quotidien
Création d'une police de sécurité du quotidien: revoilà la police de proximité, pour la presse
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.