C’est l’avis de son nouveau doyen, Thierry Le Bars, professeur de droit privé depuis trente ans, qui vient de prendre ses fonctions. Avec plus de 2 500 étudiants inscrits actuellement, dont 750 en première année, la fac de droit, née en 1432, est un des piliers de l’université de Caen. Le master sur les contentieux en droits fondamentaux fait partie des spécificités qui lui assurent une reconnaissance à l’échelle nationale. Il n’est pas le seul.
Rapprochement avec le monde professionnel
La section recherche participe également à son dynamisme. “Pour nous, l’enseignement ne va pas sans elle”, soutient Karim Sahli, vice-doyen pendant deux ans. Régulièrement, l’UFR de droit se distingue en recevant des prix ou de notes d’excellence de la part de l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur. En découlent des crédits financiers. Les 70 enseignants-chercheurs se répartissent le travail entre droit privé et évolution du droit.
Parmi les autres projets à venir, “nous allons créer à partir de janvier prochain, un institut des métiers du droit et de l’administration regroupant les études judiciaires et l’actuel institut de préparation à l’administration générale”, annonce Thierry Le Bars.
Doté d’un budget de 400 000 euros, l’UFR continue de chercher des fonds. Certaines formations sont sponsorisées par des entreprises ou les Notaires de Basse-Normandie. C’est le cas par exemple du master d’assurances des personnes, financé par la Matmut. “Ce type de partenariat est d’autant plus intéressant que c’est une garantie pour les étudiants d’avoir une formation proche du monde professionnel”, explique Thierry Le Bars.
L’UFR souhaite également continuer à développer les formations continues pour les professionnels qui ont besoin de mettre à jours leur connaissances ou de se spécialiser.
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